Faire quelque chose en retour pour notre environnement
« C’est notre manager qui a lancé l’idée », raconte Stijn. « En tant que plus grand club de Roulers, nous étions de plus en plus déterminés à faire vraiment quelque chose pour notre environnement. À assumer notre rôle sociétal et à le remplir d’une manière inspirante. C’est de cette détermination qu’allait finalement naître The Sportsclub. »
Un concept élargi
« Notre premier réflexe a bien évidemment été de donner un contenu très sportif à ce rôle sociétal. Ce n’est que lorsque nous avons commencé à collaborer avec l’expert en activité physique qu’est le Pr Dr Jan Seghers que nous nous sommes rendu compte que tout le monde n’a pas forcément la même fibre sportive et le même esprit de compétition que nous. C’est la raison pour laquelle nous avons élargi le concept en y intégrant également des initiatives grand public. Une décision dont nous sommes aujourd’hui très heureux car elle nous a permis de toucher beaucoup plus de monde et d’inscrire notre rôle sociétal dans un cadre beaucoup plus large. »
Le job sédentaire
Après avoir pris congé du volley-ball de haut niveau en mai dernier, Stijn exerce désormais, comme tant d’autres, un emploi sédentaire. Un changement auquel il lui a fallu s’habituer. « Cela faisait un bon moment déjà que je combinais mon job de cogérant chez Clementine Productions avec le volley-ball mais en mai, tout le volet sportif de ma vie a d’un coup été rangé au placard. Pendant quelques mois, je n’ai rien fait du tout, parce que je voulais dans une certaine mesure me désaccoutumer de cette drogue qu’est le sport, mais aussi parce que je me suis rendu compte qu’aller courir ou aller à la salle de sport avant ou après le travail est plus facile à dire qu’à faire. »
Motivation externe et sentiment d’appartenance à un groupe
Pour Stijn, la nécessité d’avoir une motivation externe était par conséquent très importante. « C’est un constat dont j’ai véritablement fait l’expérience », explique-t-il. « Trouver au fond de soi-même la motivation pour aller faire du sport, encore et encore, est parfois très difficile. C’est pourquoi j’ai décidé de reprendre le volley-ball, pour le plaisir et sans aucune contrainte, et cela me fait du bien de me dire que je fais à nouveau partie d’un groupe. À présent que j’ai repris le sport, je me sens bien mieux dans mon corps et j’ai plus énergie et d’enthousiasme dans ma vie de tous les jours. »
« Ce côté motivation et sentiment d’appartenance à un groupe, nous voulons également le créer avec The Sportsclub. Si vos collègues parlent avec enthousiasme des activités proposées dans ce cadre, vous serez beaucoup plus enclin à y participer vous aussi. Vous vous en voudriez de manquer cet événement super sympa dont vos collègues parlent avec tant d’enthousiasme, n’est-ce pas ? Avec The Sportsclub, vous n’êtes pas seul : vos collègues et l’équipe du Knack Volley Roeselare sont à vos côtés ! »